Ce que je veux dans cet article, c’est partager une pépite qui vient d’un w-e que j’ai passé à écouter Gregg Braden. Une pépite qui concerne notre rapport à notre travail, à notre mission de vie. Et notre devoir d’incarner notre mission de vie.

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Dans le premier paragraphe de cet article, j’ai utilisé tous des mots que j’évite habituellement. « Travail », « devoir », « mission de vie » sont des termes que je n’aime pas. Mais ici, ils ont pris pour moi une tout autre dimension. En tout cas, quand j’ai entendu Gregg Braden parler de tout cela, il m’a énormément inspirée. Et cela m’a aussi fait penser à beaucoup de personnes que je connais. D’où l’idée de cet article, afin qu’il puisse t’inspirer, toi aussi.

Gregg Braden

Avant d’entrer dans le vif du sujet, quelques mots sur Gregg Braden. Mon intention n’est pas de le présenter (si tu ne le connais pas, tu trouveras très facilement des infos sur lui). Je veux juste dire à quel point c’est un homme utile aujourd’hui. C’est un vrai cadeau, pour moi, qu’il existe, qu’il écrive des livres et qu’il donne des conférences.

La plupart des discours ambiants sont pessimiste, négatifs. Quand on parle de l’avenir de la planète, de l’humanité, on entend souvent des scénarios catastrophe.

Avec Gregg Braden, pas du tout. Sans qu’il soit complètement Bisounours, perché, déconnecté de la réalité. Au contraire, il se base sur une connaissance scientifique très pointue de l’homme, de la planète, des cycles de l’humanité, de la vie, etc., pour tenir un discours résolument positif et optimiste.

Pour dire ok, peut-être que la période qu’on vit maintenant est un peu chaotique, mais en même temps elle est merveilleuse. Et on va vers quelque chose d’encore plus merveilleux.

Ça, ça fait du bien de l’entendre, aujourd’hui.

L’histoire du morceau de musique

Parlons donc travail, mission de vie, etc. Et pour en parler, je vais rapporter une anecdote qu’il a lui-même racontée. Cette anecdote le concerne lui, et surtout l’un de ses amis musiciens.

Cet ami musicien avait composé un morceau depuis un certain temps, peut-être deux ans. Il ne l’enregistrait pas, il ne le diffusait pas, parce qu’il revenait tout le temps dessus. Ce n’était jamais assez prêt, assez parfait à son goût pour être enregistré.

Un jour, Gregg Braden et son ami sont en voiture et ils allument la radio. Qu’est-ce qu’ils entendent ? Le morceau de musique en question.

L’ami s’exclame : « C’est MON morceau de musique ! » Et Gregg Braden de lui répondre : « Non, c’est un morceau de musique qui est venu se présenter à toi. Tu n’en as rien fait. Il est donc allé voir quelqu’un d’autre. »

Ce n’est pas un phénomène unique !

Ce phénomène-là, j’en avais déjà entendu parler. Notamment par des auteurs qui disaient qu’ils avaient eu, un jour, une idée de livre. Puis, pris par d’autres choses à faire, par d’autres priorités, ils remettaient à plus tard. Ils gardaient cette idée quelque part dans leur tête, mais ils n’en faisaient rien.

Et un jour, ils se rendaient compte que quelqu’un avait écrit « leur livre ».

Qu’est-ce que cela signifie ?

C’est pas l’homme qui prend la mer…

Voilà ce qui se passe, en réalité, quand on a une idée. En réalité, ce n’est pas nous qui avons une idée, c’est une idée qui vient vers nous. Cette idée, si elle vient nous visiter, c’est pour deux raisons :

  • première raison : nous sommes LA bonne personne pour la matérialiser.
  • deuxième raison : le monde a besoin d’elle.

Quelle que soit l’idée en question. Qu’il s’agisse d’une musique, d’un livre, d’une conférence, d’une formation à mettre en place… Un projet dont le monde a besoin, que ce soit pour aider les adultes, les enfants, les animaux, l’environnement…

Peu importe le type d’idée, peu importe la façon dont elle va être concrétisée, une idée qui vient à toi, c’est une idée dont le monde a besoin. Et qui estime que tu es LA bonne personne pour la matérialiser.

Conclusion

Si tu as une idée, un projet qui te semble nécessaire pour le monde, et que toi tu as envie de faire. Cette idée-là, sur laquelle on peut mettre les mots « mission de vie », ou en tout cas ta mission de maintenant, si cette idée vient te voir, c’est que ta mission de maintenant, c’est de la matérialiser.

Parce que le monde en a besoin. Et parce que tu es la bonne personne pour le faire.

Je répète : tu es la bonne personne pour la matérialiser. Elle t’a choisi.

Ce qui signifie que si tu es traversé de temps en temps par des choses comme le syndrome de l’imposteur. Par des idées comme « je ne suis pas capable », « je ne suis pas à la hauteur », etc., c’est de la m…

L’idée, elle t’a choisi, c’est toi la bonne personne.

Même si tu te dis que d’autres font déjà ce à quoi tu penses !

Si elle est venue à toi, c’est que même si ça ressemble à ce que quelqu’un d’autre fait déjà, la façon dont toi tu vas matérialiser cette idée-là, elle est unique.

Elle a donc besoin de toi aussi pour être matérialisée.

Action !

Si tu as une telle idée, alors GO ! Il est temps de passer à l’action !

Et si tu te dis que toi, tu n’as pas d’idée. Que tu n’as pas été « élu(e) » par une idée pour la matérialiser, en fait si, certainement. On a tous notre unicité, on a donc tous quelque chose d’unique à offrir aux autres.

Ce qui peut arriver, c’est qu’on a des croyances limitantes qui nous mettent des bouchons dans les oreilles. Qui nous empêchent de prendre conscience de cette chose que nous avons à réaliser.