Dans cet article, je veux te partager une réflexion super importante qui résume, à elle seule, la puissance créatrice des pensées que nous nourrissons, des paroles que nous prononçons.
Cette réflexion pourra devenir pour toi un « panneau indicateur » fiable pour savoir si tu te diriges vers ce que tu veux dans ta vie, plutôt que vers ce que tu ne veux pas.
Cette réflexion, tu l’auras compris, c’est le titre : « Ainsi soit-il ».
Pour voir l’article en vidéo (sinon la lecture continue ci-dessous) :
« Ainsi soit-il », un petit bijou !
On retrouve dans cette expression, « ainsi soit-il », une trace de mon éducation très catholique. Je viens en effet d’une famille croyante, pratiquante, qui va à la messe tous les dimanches… Et ça m’a bien embêtée, pendant des années : j’ai dû batailler longtemps pour avoir le droit de faire la grasse matinée le dimanche matin, plutôt que de devoir aller à la messe.
Mais ce qui est bien, quand on grandit, c’est que dans tout ce qu’on a reçu, dans tout ce qu’on a entendu, dans tout ce qu’on a voulu nous inculquer pendant notre enfance, on peut en faire le tri. On peut choisir de jeter ce qui ne nous convient pas et de garder ce qui est plutôt positif. Et cette phrase-là, « ainsi soit-il », je me suis dit qu’au fond c’était une merveille, un petit bijou, je la trouve géniale !
Histoire d’apéritif où « qu’il en soit ainsi » !
Tu vas comprendre pourquoi avec cette situation : je suis en train de prendre l’apéritif avec mon mari et des amis. Nous discutons de ces entrepreneurs qui réussissent sur Internet, plus ou moins rapidement, avec plus ou moins d’éclat… Mais quoi qu’il en soit, il y a vraiment de très très belles réussites, même s’il y a évidemment toujours beaucoup de travail là derrière – il y a toujours beaucoup de travail derrière une réussite. Et je cite en exemple Margaux Klein, puisque j’ai justement mis en ligne l’interview que j’ai réalisée avec elle peu de temps auparavant. Et chez elle, justement, même si, comme elle le dit bien, il y a beaucoup de travail en amont, il y a une réussite rapide, éclatante, un peu spectaculaire puisque les chiffres parlent d’eux-mêmes : elle est passée de 0 à 1 million en quatre ans.
Comme ils ne la connaissent pas, ils sont un peu étonnés que ce soit possible. Et spontanément, leur cri du cœur, c’est : « Ah ça, ce ne sera jamais pour nous ! »
C’est là que je me dis : « Ainsi soit-il ». Si tu le dis comme ça, c’est ok, c’est comme ça que ça va se passer, en effet.
La puissance créatrice des pensées
Cette phrase, « ce n’est pas pour moi », elle sonne comme une démission. Elle indique que je n’y crois pas. Que je ne vais même pas concevoir que ce soit possible pour moi. Et donc je ne vais même pas tenter le coup !
Or si je n’essaie pas, si je ne passe pas à l’action, il ne va rien se passer. Les faits vont me donner raison. Et je vais continuer à penser que le succès est réservé aux autres, et hors de ma portée.
Et cela vaut dans tous les domaines de la vie :
- tout ce que tu dis,
- et la façon dont tu penses,
- la façon dont tu te penses,
- et la façon dont tu penses ta vie,
- la façon dont tu penses tes projets,
- etc…
Si, au bout de chaque phrase, de chaque pensée, tu peux terminer par « ainsi soit-il » et que ça te convient, c’est parfait. C’est comme ça que ça va se passer.
Alors, on change ?
Si le « ainsi soit-il » n’est pas positif, change tout de suite. Change ta façon de parler. Et change ta façon de penser. Change ta façon de concevoir ta vie et tes projets.
On dit de Steve Jobs : « Il ne savait pas que c’était impossible, donc il l’a fait. » C’est pareil pour toi : si tu penses que c’est possible, si tu penses que tu peux le faire, ainsi soit-il. Ce qui se manifeste dans ta vie est le reflet exact de tes pensées.
Pour moi la croyance insensée c’est que je ne mérite pas la stabilité financière car on est comme ça pauvre et faible de part nos ancêtres, la richesse ça me fait peur, c’est pour les autres.
Quelle idée stupide ! Oui mais c’est vraiment ce qu’il y a chez moi. Alors je ne peux pas dire « qu’il en soit ainsi » . Je me suis désolée envers moi même d’avoir cette croyance, je me demande pardon et je change en « Je mérite l’aisance financière, l’abondance » ainsi soit-il.
Merci